La conviction est un mécanisme de l’égo, qui l’empêche d’explorer l’étendue de son savoir.
Le savoir est au-delà de la conviction.
L’égo se crée de la conviction pour que ça lui donne du confort.
Le confort empêche d’aller plus loin.
La conviction ne nous donne que la moitié des choses, mais avec la conviction on pense qu’on a atteint le sommet. La conviction c’est une façon d’entrevoir ce qui est réel, mais ce n’est pas nécessairement la meilleure.
Les gens qui ont trop de convictions, ont tendance à vieillir plus vite.
Il ne faut pas avoir trop de convictions :
- Avoir trop de convictions empêche de laisser passer l’énergie des autres mondes, qui veulent nous aider.
- Avoir trop de convictions nous empêche de nous ouvrir à autre chose, nous empêche de voir les choses de la vie.
La conviction : C’est s’exposer dans le monde, pour faire voir sa personnalité.
La conviction se construit lentement.
Vous êtes responsable de la conviction que vous donnez aux autres.
La conviction c’est seulement à vous.
La conviction est un outil dont les plans se servent, pour vous détourner de vous-même.
Faire ou avoir de la conviction, c’est comme un fou qui veut avoir raison.
On peut avoir raison avec la conviction, mais ça ne veut pas dire que votre conscience est ajustée.
Quand on est conscient, on n’est pas capable de juger personne.
La conviction nous ferme toujours à quelques choses, ça fait de la restriction.
La conviction crée des œillères, et ça rend l’être limité selon sa personnalité.
Il faut sortir du plan de l’âme pour aller dans le plan de l’esprit.
Dans la conviction, il y a toujours de la domination.
Trop de convictions empêche d’échanger dans un couple.
La conviction jette de la poudre, aux yeux des autres.
La certitude, c’est un état d’esprit qui donne beaucoup d’élasticité.
La conviction, elle tend vers la certitude, elle permet d’aller vers la croyance.
Elle est reliée à l’égo, elle bloque les prises de conscience.
Il faut fonctionner selon sa conscience, et non selon ses convictions.
Les convictions retiennent une partie de l’information.
Les convictions, c’est comme une maison, (qui est nous-mêmes) qu’on habille avec du marbre poli à l’intérieur. Le marbre dénote notre personnalité, c’est très difficile de faire tomber ce marbre.
On est le seul observateur dans notre théâtre personnel.
Imposer son point de vue - doux ou violent - sur les autres, c’est une forme de possession ou de domination.
Les gens qui n’ont pas de force aiment la domination douce.
Quand l’homme utilise la domination douce, il endort la femme, c’est de la séduction.
Si la femme désire ajouter quelques fruits à son jardin, l’homme risque de modifier sa domination douce. La femme doit apprendre à vivre. La femme doit apprendre à ne pas se décourager.
Il faut que la femme se soustraie de sa mémoire en tant que femme.
Il faut que la femme se prenne en main.
Il faut qu’elle sorte de sa routine, qu’elle se déplace physiquement.
A ce moment-là, la femme aura moins besoin de l’homme.
La femme doit s’occuper de son corps, mais ne pas s’ennuyer de son corps de jeunesse.
Être libre pour une femme : C’est maîtriser ses émotions.
Plus tu deviens conscient, plus tu veux mener ta destinée toi-même :
- Se libérer des responsabilités de la domination, douce ou rigide.
- Elle doit avoir du recul pour évaluer les responsabilités qu’elle se donne.
- Il faut qu’elle évalue cela avec intelligence.
- La femme n’a pas de territoire : Elle doit s’en créer un.
- Ceci l’empêche de vieillir en beauté.
- La femme se ment beaucoup à elle-même.
Avec l’amour, elle se crée une sécurité, alors elle ne peut retrouver sa propre ressource.
Une femme réelle, c’est ce qui fascine le plus l’homme.
Une femme est réelle quand elle peut dispenser librement.
La femme a peur de faillir au fond d’elle-même.
Tout ce que tu trouves en toi, tu peux le dispenser avec intelligence.
Fondamentalement, qu’est-ce que la femme désire au fond d’elle-même?
Être supportée matériellement par l’homme ?
La vraie réponse est : Oui.
Parce que la vraie raison, est que la femme n’est pas équipée pour faire face à la guerre de la vie. (Travail, amour, etc.)
La femme a été prêtée à l’homme, dans le sens que quand elle va vers lui c’est sans arrière-pensée : Elle est amour.
Elle est sa muse.
La femme est pour l’homme, ce que l’homme ne sera jamais pour la femme.
L’homme ne regarde pas la femme, il la côtoie…
L’homme devrait regarder les yeux de la femme. Il pourrait voir son âme, sa beauté, sa pureté, son œil de daim.
La femme ne doit jamais être dominée.
La femme doit toujours avoir une porte de sortie.
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