Il vient un temps où il y a une lutte entre l’ego et les plans, quand le coefficient de la conscience mentale est tellement grand pour le tenir en vie, que l’ego ou l’homme ne peut passer à la mort et que le coefficient mental est tellement équilibré que ça le tient en vie.
Regardez vos problèmes sérieux, il y a toujours un petit élément de panique et en transcendant ça vous amène à vous créer un coefficient de conscience mentale. Quand vous l’obtenez, il ne peut plus vous êtes enlevé, c’est ce facteur de conscience là qui vous permet de passer à la conscience.
La panique :
La panique c’est votre incapacité de saisir votre réalité réelle. Dans la panique vous êtes irréel, vous flottez dans des amalgames d’ego.
La panique est utilisée par les plans, pour votre mesure.
La panique vous permet de développer votre taux de coefficient, le coefficient de la conscience du mental, c’est un degré de contrôle sur sa destinée, ce n’est pas matériel.
Par contre le coefficient de la conscience du mental, permet de dépasser la panique et par le fait même à un effet sur le matériel. C’est à l’ego de faire son coefficient mental et avec le coefficient vous pouvez dépasser la panique.
La panique c’est un égrégore, ça veut dire que la panique dans son écran est un conducteur d’énergie astrale, mais l’utilisation peut venir des plans depuis très longtemps, pour voir l’humain, pour voir comment est son coefficient mental et à quel point l’homme peut se libérer de sa programmation et de son égrégore.
La panique envoûte l’ego :
Si vous êtes équilibré ça ne veut pas dire que vous êtes équilibré à la vie et non à la mort ou à la maladie.
La panique pour eux autres, c’est nécessaire pour l’homme, pour que celui-ci encaisse sa mesure.
La panique permet de savoir si vous avez l’équilibre entre les forces de vie et les forces de mort.
L’homme il faut qu’il soit assez conscient pour mesurer sa conscience.
Si l’homme n’est pas capable de se récupérer, ce qui cause la panique à ce moment là il va aller vers la mort, parce qu’il n’a pas récupéré les énergies.
Il faut utiliser la panique pour développer le coefficient de la conscience du mental. C’est important de bien enseigner l’éducation, car ceci donne l’équilibre entre la vie et la mort. Quand ça va bien dans vos vies, c’est seulement temporaire.
C’est important de bien vieillir, que de bien vivre jeune.
Une bonne étude de la panique est nécessaire pour l’évolution de l’ego, parce que la panique c’est un peu : aller vers la mort.
Si tu contrôles cette panique, ça développe un coefficient mental. L’homme a de la difficulté avec la panique, il a tendance à la contrôler au lieu de l’intégrer. Il faut être capable de la regarder face à face la panique.
Les forces de vie donnent du plaisir, les forces de mort donne de la souffrance.
La panique c’est essentiellement un test, il faut que vous sachiez que c’est une liste, si vous ne le savez pas, à ce moment-là, vous êtes astralisé par les égrégores.
Si tu sais que c’est un test, tu développes un coefficient de la conscience du mental. Quand vous comprenez ça vous n’êtes plus régi par la programmation. A ce moment là vous pourrez donner aux autres plans, si vous avez un coefficient suffisamment développé. Vous ne pouvez pas vous unifier aux forces de la Terre tant que les forces ne sont pas unifiées aux forces de vie.
La panique c’est un dérèglement avec la connexion du plan mental comme la statique sur une ligne, comme la fusion ou la confusion.
La panique transcende si vous êtes plus vers les forces de la mort ou plus vers les forces de vie, pourquoi ?
Parce que la panique est faite pour tester et non pour vous donner de la connaissance ou vous sécuriser.
La panique vous prendra toujours par surprise.
La panique c’est très, très personnel.
La panique, c’est toujours reliée à de la valeur que l’on met, ça nous amène à développer un autre aspect.
Dans la vie, il faut perdre ses valeurs pour neutraliser les mouvements de panique dans le temps. Il faut être libre des objets ou des personnes.
Tout vous appartient dans la mesure que ça ne vous appartient pas. Ex : Le mariage, tu prends soin de ce que tu as et être capable de le laisser aller quand c’est fini. La conscience des plans doit faire partie de votre conscience et non de vos protections.
Communiquer, ça veut dire avoir la pulsion de parler avec quelqu’un. Parler amène l’autre à aller plus loin que soi-même. Savoir que l’autre est intelligent, sinon il n’y aura de fil back de retourner la parole. Si vous aviez parlé avec n’importe qui, vous êtes en relation expérimentale et non avec des relations créatives. Vous êtes une expérience psychologique c’est un privilège donné à peu, de parler. Attention : ne pas jaser.
Parler c’est amener l’autre à aller plus loin dans ce qu’il sait.
Dans la panique le contact est là, il faut le forcer et pour le forcer il faut être bien, bien conscient.
En état de panique le contact est le même. Si vous avez l’illusion qu’il n’est pas là, c’est à vous autres de forcer le contact à se manifester. En état de panique, il faut savoir ce qui se passe et non comment se sortir de la panique.
La frustration c’est de mettre de la valeur négative.
Chacun a sa panique, mais on peut aider à faire comprendre à l’autre sa panique, mais chacun vit son expérience.
On ne contrôle pas la panique, on la neutralise. La panique sert à identifier nos ultimes craintes.
Aimer parler égal, aimer être ensemble. Ex : Deux esprits qui se communiquent. Techniquement aimer c’est être capable de se séparer, mais sans souffrance, la raison c’est qu’il n’y a plus de territoire. Le concept d’eux autres, c’est être ensemble et libres, ça garantie la paix d’esprit.
La paix d’esprit :
C’est très occulte. Dans la paix d’esprit il n’y a pas de besoin. Pourquoi ?
Parce que vous êtes en parfait équilibre entre les forces de vie et les forces de mort. Il n’y a plus de besoin de vous séparer mutuellement au niveau de l’âme. Vous n’avez plus besoin de vous séparer à aucun niveau ni demander : m’aimes-tu ?
Se séparer au niveau de l’âme, ça devient une perte d’énergie. La panique c’est dans l’âme. La femme a besoin d’être séparé au niveau de l’âme, si l’homme ne discute pas avec elle.
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