samedi 10 juin 2023

7 Comment apprendre à savoir 8 Avril 2001

Savoir, ce n’est pas évident : Ça ne nous appartient pas. 

C’est difficile pour l’homme de savoir, parce que ça ne nous appartient pas de savoir. 

Ça ne nous appartient pas, parce que c’est découplé de notre réalité. 

 

Notre réalité ne fait pas partie du savoir. 

Le niveau de réalité de tous les jours ne fait pas partie de notre savoir. 

L’homme est toujours dans la réflexion de notre réalité, c’est pour cela qu’on vit des états d’esprit et qu’on en est victime. Exemple: la tension, la souffrance, etc.

 

Si on était dans le savoir, on ne serait pas victime. 

Le savoir ce n’est pas la connaissance. Le savoir n’a rien à faire avec la connaissance, rechercher la connaissance, fait partie de l’ego. 

 

La réalité est toujours infuse, c’est-à-dire prépersonnelle et il faut identifier le prépersonnel et non le personnel. L’homme cherche le savoir et il ne l’a jamais eu, car ça fait parti de la recherche.

 

La conscience, quand elle est unifiée, elle n’est pas identique à la perte de l’identité du Je. 

Le Je permet d’intervenir dans le multidimensionnel sans perdre l’indépendance de son esprit. L’homme, il ne perd jamais son identité dans l’unification. 

 

Le savoir : C’est l’empire de l’homme sur l’invisible. 

L’homme a cherché pendant des siècles… c’est de la nullité. 

L’homme n’a pas régénéré les feux de la haine, car il n’a pas la puissance pour déchirer les voiles qui lui permettent d’entrer dans le savoir.

 

Le savoir c’est toujours une invitation dans l’opposé. 

Exemple : J’ai de la difficulté à respirer, ils vont répondre : Tu es correct… 

C’est correct pour eux, mais pas pour moi, à l’instant présent. 

 

L’opposition fait parti de la structure du savoir. 

Quand tu es dans le savoir, ton état planétaire ne compte plus.

Quand tu rentres dans le savoir, c’est une manière d’oblitérer le présent, l’évidence. 

Quand tu peux oblitérer, tu commences à être dans le savoir. 

 

Le savoir c’est « Short and Skeet » instantané. 

Il ne faut pas de désir, sinon c’est l’astral. 

Le savoir ce n'est pas pour vous rassurer : C’est pour arrêter de vous plaindre. C’est très subtil…

 

Dans le savoir vous avez une manipulation de votre nature animale, pour ôter vos émotions. 

Le savoir change la vibration de l’homme. 

Dans le savoir, il n’y a aucune recherche d’identité. 

Dans la connaissance il y a beaucoup de recherche d’identité.

Le savoir, c’est la conscience vibratoire, le terme est meilleur.

 

L’étude est possible sans être présent, mais on ne peut pas prendre le contrôle. 

Le savoir = vibration consciente, dans la mesure que vous n’êtes pas dedans, que vous n’avez pas le contrôle. 

Si vous avez le contrôle : Vous êtes dans la connaissance.

 

La maladie, c’est la réflection animale (toxine). 

La maladie c’est la réflection de la crainte. Il faut l’éliminer, sinon, on est malade. 

 

Ce qui est évident est un support pour l’ego. Dans le savoir, il n’y a pas de support pour l’ego : La conscience vibratoire est indifférente de celle de l’humanité. 

Être indifférent veut dire : Ne pas se préoccuper de ce qui vous arrive, ne pas se laisser astraliser par des conditions. Le temps prend les choses en mains et la vie continue. 

Tu regardes en arrière pour te rendre compte que tu t’es énervé pour rien.

 

Le savoir c’est une prise de conscience qui est à l’infini. 

Nos vies nous ensevelissent. 

Vous êtes ce que vous pensez : Vous perdez votre travail, vous vous dites que vous êtes fatigué, c’est avec ce que l’on pense, qu’on devient ce que l’on est. 

Vous êtes esclaves de vos pensées, et après vous blâmez les autres de ces conditions, alors que ces conditions nous rendent libre. La vie ne peut pas être ce que l’on veut, sinon on serait trop astralisé.

 

Quand tu es dans le savoir : Tu ne peux pas vivre comme les autres hommes. 

Quand on se plaint, on est dans sa réflexion, et non dans le savoir. 

Quelqu’un qui se plaint : C’est qu’il ne fait rien dans sa vie. 

Avoir de quoi dans la vie, c’est être créatif, c’est organiser la nature de notre propre vie. 

 

Se plaindre c’est inévitable pour l’évolution.  

Quand on se plaint, on perd de l’énergie instantanément, car on perd la force d’agir et on la remplace ou on lui substitue d’autres de nos craintes. On ne vit pas à cause du mécanisme de nos craintes. C’est planétaire. 

Quand c’est animalisé, c’est astralisé. 

 

L’homme n’a pas d’identité parce qu’il n’est pas dans le savoir. 

Il faut vivre à partir d’en dedans, et non vivre à partir du dehors. 

On n’a pas besoin d’être riche pour se savoir riche, on pense à avoir une chose, qu’on ferait telle chose avec, et quand on a la chose, on fait autre chose... Ex : Si je pense qu’avec de l’argent je ferai telle chose avec, et bien quand j’aurai l’argent je penserai de faire autre chose… je ne suis pas extraordinaire, mais je ne suis pas ordinaire.

 

L’éducation c’est une source d’informations pour apprécier la vie. 

L’éducation c’est une vibration qui sert à prendre une prise de conscience dans toute chose. 

La conscience c’est la capacité de défaire le « game » de la vie. 

Du savoir, ça ne se transmet pas, c’est vibratoire du savoir, ça sert seulement à celui qui le vit. 

On ne cherche pas la perfection, il faut améliorer. 

L’âme n’a pas la capacité de s’auto-corriger.

 

La conscience que l’homme a sur la terre, n’est pas sa conscience. 

Une programmation c’est vibratoire, c’est spécifique à chaque individu.

La conscience mentale sait être libre dans sa propre programmation. 

Il faut contrôler ses énergies pour bien vivre sa programmation.

Une programmation : C’est une suite d’obstacles que vous avez à vivre pour vous faire évoluer. 


Le trait de caractère fait partie d’une programmation, par la programmation ils ont un contrôle sur ma destinée et ils apprennent à nous connaître et ça fait partie de leur programmation à eux autres. 

Il faut comprendre la programmation et non la subir : 

Si l’homme est évolué, il vit sa programmation dans le mental et non avec ses émotions, qui servent l’âme. 

 

La personnalité : C’est comme des rails de chemin fer que l’âme a employé pour évoluer dans la programmation. La vie sur la Terre c’est une école, on ne peut pas faire ce que l’on veut.

 

L’astrologie nous donne simplement les points forts ou les points faibles de la programmation. 

Il faut être objectif : Il faut regarder la programmation d’une manière fixe, comme aujourd’hui c’est le 22 janvier, il ne faut pas regarder le 21 ni le 23.  

 

Tu perds quelque chose pour avoir autre chose. 

La vie devient intéressante quand tu commences à découvrir ou à comprendre, le côté caché de la programmation, alors tu commences à te réaliser. 

 

La programmation est reliée à l’ascension de l’homme dans le cosmos, l’ascension de l’homme vers le supramental. La conscience est un fragment, tout est connu dans la programmation, mais ils ne savent pas jusqu’à quel point tu peux réagir.  Ils ont une connaissance parfaite de l’homme, mais ils n’ont pas la parfaite sagesse de l’homme conscient.

 

La structure de l’âme, c’est des spirilles (veine ou filament en spiral) d’énergie, c’est un mouvement de lumière. Plus il y a de spirilles, plus c’est évolué. Quand on regarde un initié : C’est comme une boule blanche, parce qu’il y a tellement de spirilles rapprochées, que ça devient tout blanc. 

 

Quand un voyant voit les spirilles avec distinction, c’est qu’au moins cette personne est moins évoluée. 

Quand une personne souffre : Ses spirilles s’élargissent, et le voyant sait ce qui se passe dans cet être, mais lorsque la personne est plus dans sa conscience, les spirilles sont étroits et lumineux.  

 

Pour eux, une l’âme à un son cosmique. Chaque centre de l’âme à un son, comme l’homme à un son, le son de l’âme est utilisé pour la réincarnation de sa programmation. Le son c’est comme les mathématiques pour nous, comme un numéro pour chacun, c’est individuel. Ils peuvent retrouver chaque âme par son propre son, on ne perd aucune âme... L’âme c’est une entité maîtresse qui ne peut pas être contrôlée, mais peut être aidée à évoluer. L’âme c’est une créature mais indépendante d’eux, de ceux qui l’on créée, et l’âme s’est détachée d’eux autres.  

 

Il y a un degré de conscience à chaque programmation par le son de l’âme. 

En travaillant sur notre programmation, ceci nous permet d’augmenter notre niveau de conscientisation. 

Quand on vit des choses non prévues, ce sont des choses cachées de la programmation.

 

L’âme a un numéro universel qui sert pour la recherche dans les annales akashiques pour ne pas la perdre, comme lors d’un accident subit, ou que l’âme après la mort physique a été déposée à un autre endroit, et au bout de son cycle ou d’un autre, un vaisseau séraphique va aller la chercher par son numéro, qui est le son de l’identité de l’âme.

 

Quand l’âme est troublée, le corps astral vibre. L’âme ne pense pas, c’est de la mémoire. 

Quand une personne se sent vide, c’est un signe qu’elle est prête à passer à une autre étape. 

Le mot dévachan, c’est le plan où l’âme va aller après la mort.

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