samedi 10 juin 2023

9 Savoir étudier sa souffrance 03 Juin 2001

Quand vous souffrez, vous plongez dans un état psychologique personnel, alors que vos souffrances ne vous appartiennent pas ! 

Que vous soyez conscient ou inconscient : Elles font partie de l’évolution de l’âme. C’est une programmation.

 

Quand on souffre, on a de la difficulté de se dissocier de l’aspect personnel : On oublie que c’est créé de toutes pièces. 

 

Vous auriez la maîtrise émotionnelle, vous ne souffririez plus de la même manière… 

Quand vous aurez intégré votre conscience, vous ne souffrirez plus, parce qu’on ne pourra plus vous faire souffrir. 

 

Personne n’est privilégié sur Terre : 

Ceux qui sont le plus près de vous, sont ceux qui ont le plus souffert… 

Les souffrances sont nécessaires, tout le monde en a. 

 

C’est important que l’homme comprenne que tout le monde souffre : 

Que tu sois conscient ou inconscient. 

 

Pour savoir faire l’étude de sa souffrance, il faut se coordonner avec "eux autres", c’est essentiel pour stabiliser les énergies. Il faut un jour arriver à les comprendre. 

Il faut avoir la capacité interne de se  coordonner avec eux. 

 

Il faut avoir la coordination de la conscience, pour se détacher ou stabiliser ses pensées, pour comprendre ses souffrances. Un être inconscient à toutes les raisons de craindre la souffrance, mais pour un être conscient : La souffrance n’a aucune raison d’être dans sa conscience. 

 

La souffrance, ça s’étudie occultement, à ce moment-là, on peut rebalancer sa vibration, ça requiert de notre part les hommes, de ne pas la regarder de notre point de vue. Il ne faut pas regarder sa souffrance personnellement.  

Il faut de la coordination avec eux autres.

 

Quand c’est personnel c’est à travers notre mémoire qu’on souffre. Vous prenez de l’énergie astrale dans votre mémoire et dans vos rêves. On souffre parce que, on ne suit pas les lois du contact avec les autres. Il y a des lois d’énergies et vous ne les appliquez pas et c’est comme si vous n’arriviez jamais au bout. 


Quand il y a coordination, on regarde selon leur point de vue, donc on se détache du nôtre émotivement 

 

On fait un contact sur la Terre pour mettre un arrêt à la mort, et ça ne se fait pas en un clin d’œil ! Il faut faire une coordination. 

 

Premièrement, on nous force à regarder de notre point de vue, on est obligé de se détacher émotivement, on s’en détache et on devient de plus en plus libre. 

 

Vous êtes attaqué où vous êtes le plus faible : Regardez où vous êtes attaqué, c’est votre talon d’Achille. Il faut identifier votre talon d’Achille, sinon, vous êtes dans le début de votre bottine et ça fait mal.

 

Si vous pensez que les forces ne peuvent pas vous aider : Oubliez ça ! 

L’homme à sa propre lumière. 

 

Ne nous prenez pas pour vos serviteurs, vous êtes votre propre maître d’œuvre. 

Le seul travail des forces c’est de donner la lumière, même si c’est dans la souffrance de l’homme, c’est la mesure de sa liberté sur tous les plans.

 

Pour avoir le contrôle de sa souffrance, chaque âme a un point faible et ce n’est pas toujours évident à l’ego, selon sa programmation, il faut identifier son talon d’Achille, créer une nouvelle structure mentale. 

 

Il faut que le problème soit renversé dans sa programmation pour voir ses souffrances renversées car sinon cela devient de la fixité astrologique et émotivement cela devient le noyau de la manipulation. 

 

Une personne qui réfléchit, adoucit sa fixité. 

L’homme aussitôt qu’il prend conscience de quelque chose, doit se prendre en main, au niveau de sa santé et tous les niveaux. 

 

La pensée est polarisée, c’est cela qui fait dire que la pensée ne vient pas de l’homme, elle vient d’eux, avant.

 

Quand tu es conscient des plans, tu souffres plus, c’est-à-dire différemment à cause d’eux autres, la manipulation. Eux ne peuvent éliminer la manipulation, c’est l’homme qui doit l’éliminer, vérifier la réflexion dans sa tête, pour savoir si c’est astral ou mental. 

 

Quand on sent l’intelligence, on ne sent pas l’ego, car l’ego est conscientisé.

La comparaison c’est comme de la cortisone : Cela brise la raison d’être.

 

Il faut avoir une pleine conscience d’eux autres, pour passer à l’étage supérieur :

Ce n’est pas facile. 

 

C’est important de communiquer ensemble, car cela aide à passer à l’étage supérieur. 

A ce moment là, tu sais que les choses viennent d’ailleurs, alors tu peux renverser les choses. 

 

Chaque âme à son potentiel : Comme tout le monde va à l’école, et tout le monde n’est pas pareil. Il y a des âmes qui sont plus évoluées que d’autres, chacun à sa mesure. 

Tout le monde a accès aux plans, mais ils peuvent prendre contact avec des plans astraux.

 

C’est la domination des plans qui fait qu’on souffre. C’est très aiguë la souffrance des plans. C’est l’homme qui doit éliminer la réflection et ça devient lumineux. Il ne faut jamais comparer, car ça devient de l’ego. 

 

Passer à l’étage supérieur c’est une autre vibration. 

C’est dangereux d’évoluer seul dans votre coin, c’est mieux d’avoir la lumière de l’autre. Sinon tu n’es plus capable d’avoir une vie normale. 

 

Ce qui empêche, c’est une faiblesse dans l’âme.

Une faiblesse dans l’âme : C’est une mémoire qui n’a pas été radiée. 

L’homme ne devrait pas avoir de faiblesse dans l’âme, s’il en possède, c’est à cause du karma, c’est ce qu’il s’est passé dans ses autres vies. 

 

La peur : C’est notre talon d’Achille, c’est une faiblesse qu’on n’est pas capable de surpasser. 

 

Pour passer à l’action, l’homme doit le faire seul : La volonté, est la seule chose qui défait la programmation.   

Nos souffrances : C’est de l’entraînement pour passer à l’étage au-dessus. 

 

Une influence : C’est toujours une force retardataire. 

La souffrance est toujours relative à ton âme. 

 

Tu ne peux pas souffrir la souffrance des autres : 

Seulement la tienne, selon ton âme et ta programmation.  

Vous ne souffrez jamais une souffrance qui ne vous est pas due.

 

Si l’entité qui aime en tant que toi - homme – souffre, tu souffres, si elle ne souffre pas tu es content. Quand quelqu’un nous fait souffrir, c’est intelligent de s’en couper. 

Un jour, il va falloir le faire. 

 

Quand tu es conscient, tu as de la souffrance psychique. 

C’est une entité qui nous fait souffrir dans la vie. 

Par contre, il faut aussi voir si l’autre nous fait connaître notre talon d’Achille. 

C’est l’intelligence qui permet de savoir le choix que l’on doit faire : 

Rester ou partir ou accepter le conseil ou les signaux que l’on reçoit au développement de l’esprit dans l’esprit. 


Dans l’esprit il n’y a pas de forme : C’est transmuté, c’est-à-dire élimination des expériences planétaires.

 

Le savoir n’appartient pas à l’homme, mais le savoir est pour l’homme. 

Savoir : C’est canaliser. 

Comprendre : C’est analyser. 

 

Le savoir c’est dans le canal. 

Il faut que l’homme sache qu’il y a un travail qui se fait à partir des plans, pour l’évolution. L’objectivité de la conscience permet à l’homme la prise de conscience de sa force intérieure : C’est une prise de conscience instantanée d’eux, avec les plans. 

 

La force intérieure : C’est seulement une mesure avec les plans, et le fait d’en prendre conscience.

 

L’étude de la souffrance : 

C’est une science, pas seulement une perception. 

Quand on étudie la souffrance on ne peut plus la percevoir, car elle ne fait plus partie de l’ego. 

 

Il faut un plan de référence à l’extérieur de l’homme.  

On ne peut empêcher la souffrance, mais il faut savoir dealer avec.  

Vous devez vous protéger de la souffrance, mais vous ne pouvez pas l’éviter.

 

L’homme doit apprendre à s’interroger sur sa souffrance pour pouvoir désamorcer l’ego, il y a toujours une ouverture chez l’homme. 

Comprenez qu’on ne peut rien faire pour vous, seulement vous éclairer, vous pouvez faire quelque chose pour vous-même : Il faut prendre la lumière.

 

Vous souffrez de vos personnalités, mais sachez que vous êtes plus grand que la personnalité. Faites le mouvement vers l’esprit, c’est top d’être dans son esprit. 

Aimez votre esprit. 

 

L’homme devrait toujours être au-dessus de la conscience planétaire, et être au-dessus de la personnalité. Il faut établir ses fondations, son socle, pour que l’homme soit au-dessus de sa personnalité et raffiner notre communication avec eux autres.

 

Dans l’étude de la souffrance, vous ne devez pas interroger la souffrance, mais interrogez-vous, vous-même. 

Dans l’étude de la souffrance, l’homme doit faire ressortir son moi. 

 

Dans la souffrance l’homme s’écrase, alors qu’il faut que son moi prenne de l’expansion, sinon l’astral fera tout pour nous faire voir la petitesse de nos êtres. 

La liberté commence quand l’homme déchire le voile.

Le talon d’Achille, c’est le point sur lequel les plans activent le plus fort, et c’est le point le plus haut dans l’astralité qui peut venir nous chercher. 

 

Ils nous connaissent jusqu’à l’os.

L’homme doit savoir qu’il est une proie. 

 

Le talon d’Achille : 

C’est la faiblesse de l’âme qui ne réduit pas l’effet psychologique de nos morts avec nous autres pour couper ou briser les liens. 

Une fois ces liens brisés, tu deviens mental.

 

Les morts vivent de l’homme, de l’émotion de l’homme. 

Le mort, dans la mort, il n’évolue pas. 

Le mort a perdu contact avec son double, mais il ne vit pas l’homme. 

Le mort a un lien avec son karma, qui peut être son père, sa mère ou autre, il peut avoir des liens avec des karmas très loin.

 

La colère : Il y a cinq sortes de colère :

 

1ère  sorte : La plus importante, face à eux autres, c’est une colère de libération.

 

2ème  sorte : La colère astrale, elle a deux faces. L’homme pense que sa colère est dirigée contre les plans, mais elle est dirigée contre lui-même…

 

3ème  sorte : Celle qui détermine son avenir, elle fait partie de sa liberté. 

Elle s’appelle souvent mauvaise décision ou coup de tête. On récolte le contre coup.

 

4ème  sorte : La colère subite, instantanée. Elle ne fait aucun bruit, ça ne change rien sur les plans. Ça se trouve chez les gens qui ont un caractère enfantin, qui manquent de maturité. C’est une colère qui fait partie de la personnalité.

 

5ème  sorte : La colère contre soi-même, c’est la colère la plus niaiseuse. 

Pourquoi ? 

L’homme peut penser contre eux autres, parce qu’il développe alors une grande volonté, mais être en colère contre soi-même : Ça ne change rien. 

L’homme en colère contre eux autres, réellement se déplace, il sait qu’il avance ou évolue. La colère doit se contenir. 

Si la colère n’est pas réelle tu piétines, rien ne se passe dans ta vie.

C’est la 2ème colère qui est la plus dangereuse, car elle n’est pas réelle. 

 

Il faut contenir la colère, car c’est une énergie de travail pour développer la volonté.

La colère, il faut que ça soit un outil, car elle doit être dirigée. 

Si vous ne contrôlez pas votre colère : Vous n’arrivez jamais à contrôler votre vie. 

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